Horaire durant les travaux: La Maison demeure ouverte avec un horaire modifié et la programmation est maintenue. Consulter l’horaire.

Résidence terminée

Du 10 septembre au

4 octobre 2021

Nour Symon

Crédit photo : Alain Lefort

Résidence terminée

Du 10 septembre au

4 octobre 2021

Nour Symon

Maison de la littérature, Québec

À propos

La pratique artistique de Nour Symon se fonde sur l’interaction de trois axes majeurs dans ses créations, à savoir la musique de concert, les arts visuels et la poésie. Cette démarche transdisciplinaire se reflète tout particulièrement dans ses tableaux sonores — partitions graphiques instrumentales ou performatives, interprétées ici et ailleurs par des musicien.ne.s et artistes aux parcours aussi sinueux que possible. Son premier recueil de poésie, son corps parlait pour ne pas mourir, ainsi que son premier livre de partitions graphiques, voir dans le vent qui hurle les étoiles rire, et rire, sont parus en 2016 aux Éditions de la Tournure. Le recueil poético-sonore L’amour des oiseaux moches (2020, finaliste aux Prix littéraires du Gouverneur général), a représenté un aboutissement important dans son parcours, ayant fait l’objet d’une publication aux éditions Omri et d’une production majeure de l’Ensemble contemporain de Montréal (ECM+).

Le projet

Khawal, son projet de création à la Maison de la littérature, mettra poésie, écriture épistolaire et composition picturale au service des parcours historiques et personnels qui s’entremêlent dans sa pensée. Khawal» est en effet un mot qui servait essentiellement de salutation taquine quotidienne, mais aussi à désigner ces queers détestables à brûler vif.ve.s sur des bûchers bien littéraux lors de pièces de théâtre religieuses pour enfants auxquelles l’auteurice a eu le malheur d’assister. Près de trois décennies de déconstruction et de reconstruction ont été nécessaires afin qu’ielle s’imagine, puis se rêve en khawal. Pas seulement ce «khawal» dont la définition littérale est «position de l’homosexuel passivement sodomisé», mais surtout cette figure traditionnelle égyptienne de danseur «du ventre» habillé en femme, maquillé de khôl et aux pieds et mains ornés de henné.

La résidence

Nour Symon a été accueilli.e à la résidence d’écrivain·e·s de L’ICQ dans la Maison de la littérature à l’automne 2021. Ielle succède aux autrices et auteur professionnel.le.s suivant.e.s sélectionné.e.s pour la résidence québécoise d’écriture: Roseline Lambert (2020), Marisol Drouin (2019), Daniel Canty (2018) et Maude Veilleux (2017).

Lien vers la résidence

Résidence obtenue

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