Horaire durant les travaux: La Maison demeure ouverte avec un horaire modifié et la programmation est maintenue. Consulter l’horaire.

Résidence terminée

Du 29 mai au

30 juin 2024

Stéphanie Pelletier

Crédit photo : Marie-Eve Campbell

Résidence terminée

Du 29 mai au

30 juin 2024

Stéphanie Pelletier

Maison de la littérature, Québec

À propos

Stéphanie Pelletier habite un mythique cinquième rang à cheval entre Padoue, Saint-Octave et Métis-sur-Mer. Elle est écrivaine, artiste littéraire, autrice dramatique, parfois même conteuse et comédienne. Son recueil de nouvelles, Quand les guêpes se taisent (Prix littéraire du Gouverneur général du Canada en 2013), et son roman, Dagaz, ont été publiés chez Leméac éditeur. Depuis 2014 elle a participé à titre d’écrivaine, de comédienne et de metteuse en scène à la création de nombreux spectacles littéraires ou théâtraux, dont quelques-uns ont été joués sur la scène du Théâtre du Bic. Sa pièce de théâtre Féminalcès a été mise en lecture en mai 2022 par le Théâtre du Bic et présentée au Festival Mots de la rive en septembre 2022. Son livre Ce qui brûle bien (prix Jovette-Bernier 2023) est paru en août 2022 aux éditions Planète Rebelle. Son travail est très souvent teinté par ses convictions féministes et environnementales et par un très fort sentiment d’appartenance au territoire Bas-Laurentien.

Le projet

Mon projet de roman raconte la renaissance d’une conscience émergeant dans la lumière d’un étang, reflétée de partout par les eaux, qui se découvre multiple et changeante et dont la reconstruction se fonde sur un lien intime entre la femme et la nature. Lien qui s’exprime autant dans les réseaux qu’elles génèrent que dans les agressions qu’elles subissent. Le roman explore et compare l’édification de l’identité humaine, de la mémoire et de la fiction avec les accumulations de sédiments qui composent les fonds des étangs ou les litières des forêts. Ce sera également un roman écoféministe où se noueront des liens aussi joyeux que nécessaires entre des femmes à la recherche d’un lieu pour vivre afin de poursuivre leur quête de puissance et d’émancipation. Il sera teinté par l’influence du réalisme magique grâce auquel se déploieront des avenues parallèles exubérantes, comme autant de boutades lancées contre les idées rigides qui séparent, isolent et stigmatisent et, par le fait même, tentent de domestiquer jusqu’au cosmos.

La résidence

Chaque année L’ICQ invite les écrivaines et écrivains du Québec ayant publié au moins deux œuvres à soumettre leur candidature pour l’obtention de cette résidence d’écriture à la Maison de la littérature.

Lien vers la résidence

Résidence obtenue

Résidence québécoise de création

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