Ceci est un avertissement:

En raison de la grève du personnel syndiqué de la Bibliothèque de Québec, la Maison de la littérature est actuellement fermée, incluant la chute à documents.

La  programmation de la scène littéraire est maintenue. La Maison ouvrira 45 minutes avant chaque activité. 

Pour plus d’information : www.bibliothequedequebec.qc.ca

Blogue de la résidence


La Maison de la littérature invite les autrices et les auteurs en résidence à partager avec le public leur expérience d’écriture.


Roberto Rueda Monreal (traduit par Hélène Rioux)

24 juillet 2023

En février 2023, le duo formé de Roberto Rueda Monreal et de Hélène Rioux s'installe en résidence à Québec pour travailler à la traduction d'une oeuvre de l'autrice. Le traducteur revient, dans ce texte, sur cette résidence particulière durant laquelle il a pu s'entretenir avec Hélène Rioux. En vivant le climat québécois, l'environnement qui façonne les textes de l'autrice,  il a compris comment  transporter ses mots du Québec vers le Mexique.


Isabelle Berrigan

19 octobre 2022

En septembre 2022, l’autrice Isabelle Berrigan était en résidence d’écriture à Cracovie, dans le cadre de la résidence croisée Québec – Cracovie, toutes deux Villes de littérature Unesco. Nous publions ici la traduction française de l’entrevue donnée par Isabelle Berrigan à KBF - Krakowskie Biuro Festiwalowe.

À coup de parodies et de détournements de phrases creuses, l’écriture incisive d'Isabelle Berrigan attaquait le fabuleux monde de l’excellence managériale par la parution des Pensées pour jours ouvrables en 2017 (Moult Éditions). Son écriture, à la fois cynique et poétique, fut rapidement remarquée autant par le public que les médias qui accueillirent chaleureusement ces brèves pensées d’une sensibilité désarmante et d’un humour décapant. Depuis, elle a élargi le spectre de ses déceptions en publiant en 2021 Vieille fille, notes intimes (Moult Éditions), où elle explore les différentes facettes de l’amour et du célibat au féminin. Elle participe à la vitalité de la communauté littéraire de la ville de Québec par des collaborations à des lectures publiques, tables rondes et contributions à des ouvrages collectifs, dont le journal L’Idiot Utile.


Nathalie Bernard

26 mai 2022

Nathalie Bernard écrit d’abord en littérature « vieillesse ». Son premier roman, Né d'entre les morts, est publié chez Denoël en 1998. En 2009, elle se lance en littérature « jeunesse » avec plusieurs séries pour les 8-12 ans. En 2017, elle trouve le format qu’elle préfère : des romans dans le genre thriller historique que le lecteur pourra lire à tous les âges. Ils sont publiés chez Thierry Magnier. Depuis une dizaine d’année, elle aime également donner une forme spectaculaire à ses romans : mises en voix, spectacles, concerts…


Marie-Ève Sévigny

1er avril 2022

Marie-Ève Sévigny est romancière et nouvelliste. Sans terre (Héliotrope, 2016; Le mot et le reste, 2020), polar dédié au territoire de l’Île d’Orléans, a été sélectionné au Prix France-Québec. Intimité et autres objets fragiles (Triptyque, 2012), recueil de nouvelles, a été salué par la critique. Docteure en études littéraires (Université du Québec à Montréal) et directrice de La promenade des écrivains, elle s’intéresse à Québec en tant que ville imaginaire. Sur la piste de Maud Graham (Parfum d’encre, 2014), beau-livre publié avec Chrystine Brouillet, a remporté le prix Marcel-Couture.


Maryse Warda

2 mars 2022

Née en Égypte, Maryse arrive à Montréal à l’âge de 9 ½ ans où elle apprend l’anglais en regardant Happy Days. En 1991, le directeur du Quat’Sous, Pierre Bernard lui offre la chance d’effectuer sa première traduction, Traces d’étoiles, de Cindy Lou Johnson. La pièce est couronnée d’un tel succès qu’elle marque le début d’une carrière aussi inespérée qu’inattendue. Depuis, elle a signé plus de 70 traductions d’auteurs nord-américains, britanniques, écossais et irlandais. Son travail sur la série Motel de passage, de George F. Walker, remporte le Masque de la traduction et est en lice pour le prix du Gouverneur Général en 2000. Mais c’est sa traduction de Toxique ou L’incident dans l’autobus, de Greg MacArthur, qui lui vaut cet honneur en 2011.


Ulrike Anna Bleier

28 octobre 2021

Ulrike Anna Bleier vit à Ratisbonne et à Cologne. Son premier roman, Swimmer's Pool, a figuré sur la Hotlist des dix meilleurs livres d'éditeurs indépendants en 2017. Pour ses œuvres littéraires, elle a été récompensée par plusieurs prix - elle a récemment reçu la bourse Dieter-Wellershoff de la Ville de Cologne, une bourse de travail de la Kunststiftung NRW et des bourses de résidence du Goethe-Institut de Prague et du gouvernement de l'État de Bavière. 


Véronique Sylvain

19 et 28 juillet 2021

Véronique Sylvain habite à Ottawa, où elle a complété une maîtrise en lettres françaises sur les représentations du Nord dans la poésie franco-ontarienne. Ses poèmes ont paru dans les revues À ciel ouvert, Ancrages, Zinc et dans le recueil collectif Poèmes de la résistance (Prise de parole, 2019). Son premier recueil, Premier quart (2019) lui a permis de remporter le Prix de poésie Trillium, le Prix du livre d’Ottawa, en 2020, et le prix Champlain 2021. Véronique occupe le poste de responsable de la promotion et des communications aux Éditions David depuis 2014. 


Roseline Lambert

26 août 2020

Roseline Lambert est poète et anthropologue. Elle a publié deux recueils de poésie chez Poètes de brousse, Les couleurs accidentelles en 2018 et Clinique en 2016. Elle achève un doctorat en anthropologie de la poésie à l’Université Concordia. Durant la dernière année, elle a résidé en Norvège pour faire un projet de recherche et d’écriture sur les effets de la lumière. Elle a remporté le prix Félix-Antoine-Savard de poésie en 2017.


Isabelle Kirouac-Massicotte

23 juin 2020

Isabelle Kirouac-Massicotte est professeure adjointe à lʼUniversité de Toronto. Ses travaux portent sur le trash comme esthétique de la marginalité dans les littératures québécoise, franco-canadiennes et autochtones de langue française. Après avoir complété son doctorat en lettres françaises à lʼUniversité dʼOttawa en 2016, elle a occupé le poste de lectrice dʼéchange canadienne à lʼUniversité de Bologne, en Italie. Elle a été successivement stagiaire postdoctorale à lʼInstitut dʼétudes acadiennes et au Département dʼétudes françaises (CRSH) de lʼUniversité de Moncton. Elle sʼintéresse à lʼétude culturelle des minorités, au genre de lʼhorreur sociale, à lʼimaginaire minier, à lʼimaginaire de lʼindustrie et à la nordicité. Son livre Des mines littéraires. Lʼimaginaire minier dans les littératures de lʼAbitibi et du Nord de lʼOntario, a paru en 2018 aux Éditions Prise de parole.


Valérie Forgues

6 mai et 19 juin 2020

Formée à l’Université Laval en création littéraire et théâtre, détentrice d’une maîtrise en études littéraires, Valérie Forgues écrit de la fiction et de la poésie. Lauréate de la mention du prix Alphonse-Piché 2009, elle partage son temps entre l’écriture et son travail en bibliothèque. Amoureuse des livres et des voyages, ses mots l’ont portée dans divers festivals et résidences au Québec, au Liban, au Mexique, en France, en Suisse, au Cameroun, en Allemagne et en Roumanie. Son dernier recueil de poèmes, Jeanne forever, écrit avec Stéphanie Filion, est paru chez Le lézard amoureux en 2018.